L’homo sapiens en 2200

Histoire et avenir du psychisme humain : hypothèses

L’histoire telle qu’on la connait concerne surtout les civilisations, leur organisation et l’évolution des territoires (migrations, guerres, pouvoirs…).

Les sources objectives dont disposent les historiens sont l’archéologie, les sources images et depuis 3 000 ans environ en Occident, l’écriture. La Préhistoire, périodes vécues par les humains auparavant, est moins connue.

A la lumière d’une culture générale occidentale mêlant Histoire, géographie, art, lettres etc., et d’une introspection m’ayant menée à rencontrer l’Inconscient et l’inconscient collectif, tout en lisant de nombreux ouvrages de Carl Gustav Jung, entre autres, je voudrais ici tenter de brosser à grand traits une histoire du psychisme humain à partir d’hypothèses personnelles, et de tenter d’en tirer quelques pistes pour les périodes de grands changements universaux que nous traversons et traverserons.

Féminin/masculin : Jusqu’à 4 000 ou 6 000 ans avant JC, les civilisations anciennes semblent avoir été matriarcales, avec une religion où les déesses mères étaient très importantes, notamment en Europe mais aussi en Moyen-Orient (déesse Ishtar, Isis,…).

Les figures issues de l’Inconscient étaient vécues dans la réalité (exemple : sacrifice de la nature animale pour accéder à la personnalité mimé par de VRAIS sacrifices chez les celtes.)

Puis, les sociétés sont devenues patriarcales, et les 2 000 ans que nous venons de traverser font partie de cette époque. La religion chrétienne est majoritairement tournée vers l’homme : mariage où la femme est une propriété de son conjoint, Dieu, Jésus et LE Saint Esprit= trinité masculine, avec la Vierge Marie, asexuée et sage, pour représenter la femme, face aux méchantes Eve et Lilith…

En ce début du XXIe siècle, l’équilibre entre masculin et féminin semble s’orienter d’une façon encourageante, même s’il reste beaucoup à conscientiser et acter. On est loin de l’époque des sorcières et des bûchers. La liberté croissante de vivre son genre, son orientation sexuelle aujourd’hui, avec notamment le mariage Gay dans les années 2010 (Merci Hollande) illustre bien la complexité du psychisme humain avec toutes les facettes du masculin et du féminin en chacun d’entre nous.

Les autres caractéristiques globales des 2 000 ans qui viennent de s’écouler quant au christianisme (même pour ceux, athées, qui pensent que la religion ne les influence plus)  me semblent être le passage d’une divinité cruelle et sévère à un dieu d’amour, à travers son fils le Christ, avec le paradoxe de l’ostracisme du Mal hors de Dieu, de l’humain…(Satan). Comme le féminin est refoulé dans le même temps, ainsi que le Corps, tout est mêlé et non différencié…D’où les résurgences de déesses païennes du type de Méduse dans les rêves d’occidentaux…ces déesses ne sont qu’enfouies sous les strates de chrétienté et de rationalisme, mais toujours là…

Le XXIe siècle et les suivants me semblent donc devoir être destinés à réhabiliter le féminin en chaque homme, la femme et le corps. Chacun devrait prendre le temps de plonger en lui-même pour y découvrir la part de chacune de ces polarités.

Se détourner du corps était peut être nécessaire pendant un temps pour faire le sacrifice de l’animalité (symbolisme du Christ sur la Croix) et permettre à un certain nombre d’individus d’accéder à leur personnalité profonde. Le nouvel archétype, qui prend possession de nombreux humains à l’aube de ce troisième millénaire n’est plus la croix et le Christ (on sait qu’il est androgyne à présent et les stigmatisés se font plus rares…) mais celui des âmes jumelles. Un symbole vivant droit issu de l’inconscient collectif humain pour signifier que les humains s’apprêtent à réunifier masculin et féminin au sein de leur cœur et que ce n’est pas un jeu d’enfant…Lorsqu’on est pris par un tel archétype, si puissant, il est quasiment impossible de comprendre qu’il ne s’agit pas d’une histoire personnelle mais universelle. Il suffit d’aller sur le net pour voir que de nombreuses personnes vivent actuellement de manière très puissante ces archétypes.

L’ombre.

L’ombre est selon Jung la partie non connue de notre psychisme, contenant du bon et du mauvais. Chaque civilisation en a aussi une. J’espère de tout cœur que le XXe siècle sanguinaire aura suffi à nous faire comprendre que notre psychisme humain est porteur d’une noirceur destructrice terrible, dont « Satan » n’a pas le monopole et qu’il nous faut composer avec et en avoir conscience.

Comme souvent l’ombre est projetée sur « l’étranger », la transition est facile avec ce qui divise les hommes d’aujourd’hui…

Tout comme les celtes face aux gaulois, puis aux Francs, puis aux Wikings…tout comme les protestants et les catholiques qui se sont entretués il y a 500 ans…les populations actuelles occidentales auront à composer avec « l’étranger ». J’espère qu’on s’en sortira mieux que nos ancêtres…car la confrontation viendra à la fois de l’intérieur (banlieues où parce que nous n’avons pas su accueillir les descendants des travailleurs que nous avons fait venir en France dans les années 60/70, nombre de personnes se sentent violemment étrangères à la France) et de l’extérieur (migrants : si même les Romains n’ont pu faire tenir les frontières de leur immense Empire, comment le pourrait-on ?)

Les fonctions psychiques de l’humanité

Selon Jung, on peut décrire assez simplement le fonctionnement du psychisme humain selon quelques fonctions fonctionnant par opposés.

Extraversion/introversion

Fonctions irrationnelles : sensation/intuition

Fonctions rationnelles : Pensée/sentiment

Dans une population de Sapiens, de manière très caricaturale, il y a toujours eu une majorité d’extravertis et/ou sensitifs, et environ 20 pour cent « d’introvertis » et/ou intuitifs, suffisants dans un troupeau pour percevoir les éléments invisibles ou dangers. (En Asie, il y a davantage d’individus introvertis).

Les fonctions irrationnelles peuvent être rapprochées de fonctions présentes chez l’humain primitif et peut-être même chez d’autres animaux. Les fonctions rationnelles sont plus élaborées (pensée, sentiment). Durant la Préhistoire et l’Histoire, la fonction sensation est certainement celle qui a été la plus développée. L’extraversion est encore actuellement privilégiée et mieux vue (individu normal vs « timide/coincé »). La pensée a connu un développement notable dans l’Antiquité grecque (Aristote/Platon etc. Ve et IVe s av JC) et romaine (Cicéron Ier siècle avant JC), au XIIIe siècle puis au moment de la Renaissance (autour de 1500) puis continu depuis le siècle des Lumières (XVIIIe Diderot, Voltaire,…). A tel point que seul le conscient existe pour nombre d’humains de nos jours…abstraction étant faite du reste du psychisme, du corps, des émotions, de l’intuition…

La pensée continuera à se développer avec une révolution dont on n’a pas encore conscience mais qui secoue notre monde : après l’invention de l’écriture puis de l’imprimerie, celle d’internet est tellement fraiche qu’on n’a pas eu le temps de concevoir son impact : la démocratisation de la connaissance et de la pensée. A la manière d’un accélérateur de particules, chacun aura accès lorsque son contenu sera classé et inventorié, à la somme de la connaissance terrienne : l’omniscience divine…Et dans quelques centaines d’années, si elles ne sont pas détruites, l’archéologie et l’histoire se fera en fouillant les strates d’archives numériques où on retrouvera les sites, blogs d’aujourd’hui, 2018…

Restent deux fonctions qui sont moins développées dans nos sociétés jusqu’à présent. La première est l’intuition, part de notre instinct animal oubliée au profit de la sensation (beaucoup manger, beaucoup boire, consommation de sexe, etc…) et de la pensée humaine sensément toute puissante (enfin, c’est ce qu’on croit…mais entre pensée et intelligence, il y a parfois de la marge…). La seconde est la fonction sentiment, peu souvent développée dans notre civilisation occidentale, sauf peut-être dans des périodes comme celles de l’amour courtois au Moyen Age ou l’amour du christ, toujours plus ou moins désincarnés… ou le XIXe siècle romantique où cette fonction était liée à un certain mal-être. La fonction sentiment est actuellement plus présente statistiquement chez les individus féminins et désavantagée au profit de la raison.

L’introversion est assez mal vue également de nos jours, alors que c’est aussi à l’intérieur des psychismes individuels que l’on découvrira des fonctions qui sont moins différenciées dans les groupes sociétaux. Encore faut-il pour cela prendre conscience et accepter que tout le monde est différent…

Le XXIe siècle sqq pourrait être celui de la fonction sentiment à travers un partage entre les hommes (Société Epic proposant de partager quelques euros chaque mois avec des habitants d’autres continents, ou autres procédés comme l’arrondi sur salaire ou en caisse pour des œuvres de partages…). Même si à l’échelle de notre pays, l’idée d’un revenu universel peine à convaincre pour le moment, la robotisation amenant la destruction massive d’emplois dans les décennies à venir nous fera peut-être comprendre que nous n’aurons pas d’autre choix…Plus largement, comment moralement continuer notre train de vie en sachant les conditions de vie de millions d’humains dans l’hémisphère Sud?

Encore faut-il prendre le temps de se connaître…cela impliquerait une façon de vivre loin des heures sup et de l’abrutissement des heures d’écrans, pour des relations suivies avec soi et ses prochesLa fonction sentiment humaine permettra aussi j’espère de supplanter la sensation consumériste et d’enfin prendre en compte les besoins de notre terre. Je m’interroge d’autre part sur le lien entre sentiment et relation amoureuse jetable actuellement, sur le lien entre sentiment et corps…qu’en sera-t-il ? Je n’en sais rien…

L’intuition

Si l’on transpose à une société l’individuation d’une personne, voici comment cela fonctionne: la première fonction est développée dans l’enfance de la personne. Puis la seconde est rationnelle si la première est irrationnelle ou inversement. Si on considère la population française et par extrapolation, européenne, comme ayant développé la sensation animale puis la pensée humaine, la troisième fonction (chez l’individu de 20 à 40 ans) est la pendante de la deuxième fonction: ici, il s’agit bien du sentiment. La dernière (maturité de l’individu à partir du milieu de la vie) serait donc l’intuition, comme un retour à notre instinct et notre animalité. A l’échelle d’une civilisation, cela peut prendre des centaines, des milliers d’années…Cependant, des individus éclaireurs peuvent y accéder plus tôt…et certains savent déjà de quoi je parle. Encore aujourd’hui, il existe des alchimistes qui travaillent la matière vivante des images d’archétypes présentes dans leur corps. Cela prend du temps, beaucoup de temps…

Renouer avec son intuition animale nécessite une introspection et va également de pair avec une redécouverte du corps et de la spiritualité presque disparue en France depuis un siècle.

Partir à la rencontre de notre animalité intuitive suppose de redécouvrir un autre langage, précédent le nôtre : le langage des images vivantes, auxquelles on a accès en rêve, dont un grand nombre sont collectives et dont on se sait toujours pas si elles sont stockées à l’extérieur et accessible en « wifi » ou inscrite dans notre patrimoine génétique en tant qu’instinct animal et langage pré-humain (mythe, rêves, religions de tous les continents). Toutes ces parties de l’ADN ne servant soit disant à rien…que sont-elles ? Et la physique quantique prouvant l’intrication de deux particules pourtant séparées au même moment…par le vide entre la matière ou par le « Wifi » inter-ADN ? inter-matière? inter-antimatière? Les sciences ont encore un monde à découvrir…

Lorsque les 4 fonctions sont connues (chacun a des points forts et des points faibles, il existe de manière caricaturale 16 profils d’humains, cf ma série d’articles sur les types psychologiques), un humain est individué, mature, adulte, « complet »…Les sociétés humaines semblent donc être de très jeunes gens, tout comme l’image du Verseau, jeune androgyne versant de l’eau sur la terre, le laisse penser selon de nombreuses personnes spiritualistes sur internet et ailleurs.

Les niveaux de conscience de l’homo sapiens

La symbolique des chakras illustre l’avancée de la conscience humaine. Le chakra de base, le 1er sur 7 est relié à la terre : il est sans doute commun à d’autres mammifères. Le second, sacré, intervient lorsque l’on a conscience de soi. Peut-être que la naissance de l’art et des funérailles correspond à ce stade à la Préhistoire. Les sociétés patriarcales depuis quelques millénaires avec les conquêtes et guerres fait penser au 3e chakra du plexus solaire, celui de l’affirmation, des émotions débordantes…

Le prochain stade serait alors celui du cœur, ce qui correspond à la fonction sentiment, le lien aux autres, à soi, au monde. De quoi nous occuper pendant quelques 2 000 ans…

Le 5e est celui de l’expression et le 6e le troisième œil, celui de la connaissance intuitive, des visions, de la télépathie, du discernement etc. Le 7e est le lien avec le divin.

Pour passer au quatrième « niveau », encore faudra-t-il abandonner les sensations consuméristes et le pouvoir du troisième chakra à temps…avant d’avoir tout détruit…soit en déréglant le climat mondial, soit tout simplement avec l’ « énergie verte » de nos centrales nucléaires alimentant bientôt toutes nos voitures électriques que nous aurons « choisi » d’acheter.

Dans quelle mesure parviendrons-nous à garder le meilleur de notre animalité (sensation/intuition) tout en développant notre humanité (pensée/sentiment) ? Quelles implications cela aura-t-il sur notre Histoire en mouvement ?

 

 

 

 

 

 

 

Types psychologiques 9/10: résumé du livre de CG Jung

Dans la première partie de son ouvrage, avant d’introduire la théorie de ses types psychologiques, Jung recense longuement toutes les mentions faites dans les époques précédentes de ce qui concerne les types psychologiques: pensée antique et médiévale, Schiller: attitude naïve et sentimentale, Nietzsche apollinien/dionysien, Furneaux Jordan, Carl Spitteler: Prométhée et Epiméthée, domaines de la psychiatrie (Otto Gross), l’esthétique (Worringer), la philosophie (James), la biographie (W. Ostwald). La troisième partie est une suite de définitions des concepts utilisés dans le livre.

Voici le résumé de la seconde partie de l’ouvrage de Jung concernant spécifiquement les types psychologiques, il est difficile de se procurer cet ouvrage qui n’est plus édité et qui est vendu à prix d’or d’occasion. J’espère que ce résumé contentera les personnes qui n’ont pas eu la chance d’y avoir accès. Cette vision de la psychologie humaine permet de se rendre compte que les humains sont autant d’espèces différentes en fonction de leur perception et jugement de la vie, et d’un peu mieux se comprendre et comprendre les autres. En ce sens, ce livre est une mine d’or.

Pour rappel (cf articles précédents), chaque individu a une fonction principale, une secondaire qui est perceptive si la principale est jugement et inversement, une troisième développée au début de l’âge adulte si tout va bien, qui est l’opposé de la seconde et une inférieure apparaissant vers 35/40 ans, pendant de la principale (jugement ou perception comme la principale) et fortement teintée par l’I de la personne.

L’auteur étant psychiatre, il est fait mention des dérives névrotiques de chaque type, ne concernant absolument pas tous les individus. Pour une meilleure compréhension de ces fonctionnements psychologiques complexes, j’ai rajouté pour chaque type les équivalences MBTI.

Abréviations utilisées dans ce résumé:

I= inconscient, C= conscient, Te=  pensée extravertie, Ti= Pensée introvertie, Se= sensation extravertie, Fe= sentiment extraverti, Fi= sentiment introverti, Si= sensation introvertie, Ne= intuition extravertie, Ni= intuition introvertie.

 

Le type est inné quand l’enfance est normale, sinon il peut y avoir un changement de type ce qui équivaut à une névrose. La guérison rétablit l’ attitude naturelle. En cas de renversement du type, on observe un épuisement et une physiologie perturbée.

Le jugement (fonctions F et T) perçoit le C (sous contrôle, causalité), le perceptif (fonction S et N) perçoit l’I (spontané, hasard). Les descriptions qui suivent (caricaturales ainsi que le précise l’auteur) traitent ce que l’individu éprouve consciemment, si l’observateur perçoit par N, il peut percevoir plus fortement les fonctions non conscientes de la personne.

 

TYPES EXTRAVERTIS

Attitude consciente

L’objet est plus important que l’opinion subjective. L’extérieur est toujours vainqueur. La morale est généralement admise, ainsi que la famille. Les besoins corporels ne sont pas pris en compte car intérieurs.

Troubles possibles : hystérie, attirer attention, influençable, confidences hystériques mensongères.

Attitude inconsciente compensatrice

Tendance égocentrique, primitive, infantile, moins les individus tiennent compte de leurs besoins, plus ils deviennent égoïstes.

I : désirs incestueux possibles (fonction inférieure). Si trop extraverti : cas de débâcle nerveuse ou réelle, drogue, alcool, suicide.

 

Pensée extravertie, Te (équivalent type MBTI E-TJ)

Tire de données objectives une idée générale. Pensée dualiste bon/mauvais, laid/beau, moral/immoral, importance de la vérité, de la justice

Sentiments parfois négatifs : sauf si prennent forme en art/amitié ou passion religion (formes de vie), dans ce cas : créativité constructive et synthétique.

I : malhonnête, égoïste, susceptible, rancune, refoulés… « la fin justifie les moyens. »

Plus les sentiments sont refoulés, plus ils ont un impact sur les pensées. Le fanatisme vient du doute inconscient.

 

Sentiment extraverti, Fe

Déterminé par l’objet ou l’opinion générale sur le bon/beau, suit les modes y compris culturelles, philanthropie d’entreprise.

Inconstance, incertitude possible…Cas pathologiques : hystérie  avec le monde représentatif infantilo-sexuel qui la caractérise.

Type Fe, majorité de femmes  (équivalent types MBTI E-FJ)

Choix d’un mari « qui convient », ne pense pas en priorité car la pensée peut troubler le sentiment, servante du sentiment. Ne pense pas ce qu’elle ne sent pas. La personnalité se dissout en autant de sentiments différents : on observe une démonstration affective puissante puis des ressentis négatifs y succèdent.

La pensée I est infantile, archaïque, négative, réductrice: «  ce n’est rien que ».

 

Résumé des types extravertis rationnels ou de jugement (les deux types décrits ci-dessus Te et Fe sont subordonnés au jugement rationnel).

Excluent le fortuit et l’irrationnel, individus « raisonnables ».

S et N sont I : parfois plaisir bizarre, intuitions négatives et fascinantes

 

Sensation extravertie, Se

Attachement sensible à l’objet, sensations concret.

I:  F et T archaïques/infantiles, N encore plus refoulée.

Type Se: Surtout des hommes (équivalent MBTI: ES-P)

Expériences réelles, faits concrets. Jouissance recherchée dans le fait de sentir les objets, d’avoir des sensations, esthète et/ou bon vivant.

I refoulé : jalousie, angoisse, phobie, obsession, peur sur fond de morale/religion

Difficiles à soigner quand pathologie car F/T peu différenciés.

 

Intuition extravertie, Ne

Attitude d’intuition extravertie, l’intuition est un processus inconscient. « Voir derrière » l’apparence des choses, attente, contemplation, regard. L’objet crée en soi un effet inconscient, l’adaptation psychologique à la situation est validée après coup.

S refoulée car obstacle à N. (Vue/ouïe/odeur, superficiel).

Ne cherche qu’à saisir les possibilités les plus grandes, par pressentiments. Toute situation de vie devient une chaîne accablante, une prison à ouvrir. Les objets ne sont utiles que dans ce sens, puis sont rejetés.

Type Ne, surtout des femmes (équivalent MBTI EN-P)

Forte dépendance des situations extérieures, là où il y a des possibilités (pas richesses matérielles), craint les situations stables, étouffantes. Tout devient prison. Revendique liberté/indépendance.

Objets nouveaux, voies nouvelles l’attirent (l’individu incarne son projet), puis abandon froid et passe à autre chose. Le C traite l’objet et la sensation avec une souveraine supériorité et aucun égard, ne voit pas objet tout comme le type sensation ne voit pas l’âme. Ni T ni F pour pencher en faveur de la stabilité (F/T sont associées à convictions). La morale de l’intuitif n’est ni F ni T, elle est propre : il est fidèle à son N, soumission volontaire à la puissance de son N.

Relations mondaines. Conjectures sexuelles, flair pour maladie et finances. Parfois aventurier immoral et brutal aux yeux de la famille, éparpillé, prise de risque.

Parfois projections absurdes intensives sans caractère mystique: se fixe à une personne qui ne lui convient pas car cette personne a touché une sphère de la sensation archaïque, on observe alors un attachement inconscient obsédant à un objet inaccessible. Hypocondrie obsédante, phobie, sensation corporelles absurdes.

 

Ensemble des types extravertis irrationnels (Ne et Se):

La perception est supérieure au jugement pour eux. Ils ne font pas de choix par jugement, et ont un fonctionnement empirique à un très haut degré. L’expérience prime : à ses yeux,le rationnel bride la vie, est trop raisonnable.

Entre extravertis rationnels et irrationnels, il peut y avoir des malentendus ou des projections. Le rationnel pense que l’autre pense/ressent comme lui, l’irrationnel qu’ils ont une perception commune S ou N.

 

TYPES INTROVERTIS

Chez le type introverti (hérédité joue), se glisse entre la perception de l’objet et son action une opinion/perception personnelle. Il s’appuie sur la constellation que l’impression extérieure a fait naître en lui.

Nouvel état de fait psychologique par les changements et hasards individuels (forgés par expériences de la vie).

Si le moi est au service du Soi (véritable personnalité unifiée incluant les fonctions inférieures et l’I) , l’individu n’est pas infidèle à son caractère même si n’est pas compris par les autres. Si il y a une identité entre le moi et le Soi, le moi se gonfle et le soi descend, névrose. Exemple de Nietzsche : égocentrisme puéril et sentiment puissance.

L’archétype (objet intérieur) entre en jeu quand pas encore conception ou quand raisons intérieures ou extérieures rendent impossible cette conception. Echo dans l’I de la personne, conception et inclination intérieure ayant plus d’importance que l’extérieur. En général, l’introverti ignore comment se forme son jugement, sa perception subjective.

Possibilité négative: rigide, puissance, impose ses vues.

Attitude inconsciente des introvertis:

Quand le moi veut être indépendant, libre, en l’absence d’obligations et se sentant supérieur à l’objet, alors l’I introduit un rapport compensateur : attachement inconditionnel et irrésistible à l’objet, esclavage. L’I veut ainsi détruire l’illusion de puissance et la fantaisie de supériorité de la conscience. L’objet devient angoissant par des qualités de puissance inquiétantes. Le rapport à l’objet est primitif: l’objet a une puissance magique.

Tout ce qui est nouveau, étranger, changement…est négatif.

Le moi s’efforce alors de se séparer de l’objet ou de le dominer : il chercher à se construire un système formel de sécurité pour garder l’illusion de sa supériorité. Le désir relève plus d’une volonté de domination que d’adaptation.

Le Soi doit être en lien avec objet. Cas de névrose : psychasthénie

I infantile et archaïque : la liberté d’esprit donne assujettissement financier, l’insouciance dans l’action donne une anxiété face à l’opinion publique, la supériorité morale prétendue donne des relations douteuses, le désir de domination donne un pitoyable désir d’être aimé…On peut observer des actes de lâcheté…

 

Pensée introvertie Ti

Les faits réels, les exemples illustratifs, les opinions nouvelles, la réalité ne sont ni cause ni but de cette pensée, ces types recherchent l’expression abstraite la plus adéquate… mais l’idée n’est pas toujours adéquate aux faits (tout comme le type Te ne parvient pas toujours à abstraire les faits en une idée générale).

Faire entrer de force la réalité dans un système de pensée, ou ignorer les faits au profit de son imagination (parfois archaïque) rend parfois ces individus mystiques et stériles, car trop éloignés de la réalité.

Ils sont néanmoins souvent convaincants car ils expriment des archétypes qui font écho à l’intérieur des gens.

Intuition de nombreuses possibilités, possibles mais imaginaires.

Le support de vie passe dans d’autres fonctions plus archaïques.

Psychologie primitive symbolique : N « autre côté », F : rapports affectifs fantastiques inouïs jusqu’alors, et jugements affectifs de caractère contradictoires et incompréhensibles, S : sens découverte du nouveau dans et hors du corps.

Si résistance à l’objet : I : psychasthénie, usure interne et épuisement cérébral.

Type Ti (équivalent MBTI I-TJ)

Comme Kant Ti (Darwin Te), l’individu cherche à approfondir, pas à élargir. Il peut y avoir un rapport négatif à l’objet, une indifférence au refus, un sentiment de supériorité, un entêtement (il est entier et pas influençable dans ses idées). Manque total de sens pratique, s’isole. Ne cherche pas à convaincre mais s’emporte face aux critiques.

Opposition avec les autres, orgueil, il collectionne des preuves de la bêtise humaine (mais dépendant des proches).

L’influence extérieure repoussée revient par l’I : idées destructrices et amertume. Si les liens avec l’expérience objective se relâchent, idées mythologiques donc fausses peuvent apparaître.

F N et S ont moins de valeur et comme l’extraversion sont primitives, et elles influencent parfois de manière fâcheuse Ti.

Ces individus peuvent instaurer des zones d’autoprotection/obstacles autour d’eux, peuvent avoir peur des femmes, chercher à se protéger contre des actes magiques.

 

Sentiment introverti Fi

Ces individus cherchent une image introuvable dans la réalité, ils glissent sur les objets qui ne lui conviennent jamais, car fades ou inadéquats au regard de la profondeur de leur sentiment. Leur sentiment personnel est difficile à communiquer même s’il est universel car alimenté à partir des images primordiales.

Mécanisme de protection : jugements affectifs négatifs ou indifférence.

Une phase mystico-extatique peut préparer le passage vers les fonctions extraverties refoulées par celle du sentiment.

De même qu’à Ti s’oppose le sentiment primitif auquel s’attache l’objet avec une force magique, de même au Fi subjectif et détaché de toute tradition, s’oppose la T inconsciente qui tombe très fortement au pouvoir de l’objet.

Type Fi, surtout des femmes, (équivalent MBTI: I-FP)

Lisse et indifférent extérieurement, aucune participation aux émotions d’autrui, les mobiles de ce type sont invisibles, il rejette la passion.

Son influence dominatrice est souvent difficile à saisir, si c’est une femme, elle fascine l’homme extraverti car elle touche son I.

On peut observer des cas de cruauté chez certains individus.

Si le moi sait qu’il est en dessous de l’I, la pensée T est archaïque mais serviable, mais sinon, le sujet égocentrique éprouve la puissance et l’importance de l’objet dévalorisé en lui attribuant des pensées supposées. « Ce que pensent les autres » est imaginé comme très négatif. Le sujet, en défense, devient négatif, invente des rivalités mystérieuses, des luttes négatives, épie, soupçonne…

Dans les cas pathologiques: névrose neurasthénique, anémie corporelle.

 

Résumé des types rationnels introvertis

L’introverti est en décalage avec l’esprit de l’époque : d’où parfois un sentiment d’infériorité et parfois une oppression ressentie de la part de la majorité extravertie.

Le subjectif se manifeste parfois de manière caricaturale : exemple: certaines formes d’art contemporain.

Le cas idéal pour tout individu serait d’avoir une introversion et une extraversion équilibrées, mais souvent, dans le meilleur des cas, on observe ces orientations non pas simultanément mais successivement dans le comportement.

Mais attention, l’erreur principale pour un introverti serait de ne pas être fidèle et abandonné à son orientation subjective. Cela entraîne des malentendus et une sous-exploitation de ses possibilités.

 

Si

La Si se développe vers le fond des richesses intérieures : la perception est subjective, chacun voit différemment un objet, avec un effet intérieur différent. Si on prend l’exemple de l’art : un objet excite les éléments de la mythologie, des dispositions de l’I collectif, chargé de significations. L’objet dit plus qu’aux extravertis : le sujet voit l’arrière-plan du monde physique, voit le passé et l’avenir dans les objets.

Type Si, (équivalent MBTI: IS-J)

Ce type est calme, passif, affichant une neutralité bienveillante (tout est nivelé venant de l’extérieur). On observe une bonhommie mais avec parfois un entêtement et despotisme accrus.

Les choix sont guidés par les événements de manière très irrationnelle : il y a un rapport non proportionnel et arbitraire avec l’objet (quotidien ou artiste créateur).

Un contenu de l’I se glisse entre le sujet et l’objet.

Si ce ne sont pas des artistes extériorisant leurs sensations par le biais de l’art, toutes les impressions vont vers l’intérieur. En général, ces individus sont satisfaits de la retraite en eux-même et de la banalité du réel qu’ils traitent de manière archaïque.

L’objet est dévalorisé par le sujet : il peut y avoir une interprétation illusoire de la situation. Dans certains cas morbides : l’individu confond les objets et sa subjectivité. Mais avant ce stade, les fonctions T, F et son action sont perturbées même si objet est toujours perçu.

F et T sont archaïques, et s’expriment dans de banales expressions quotidiennes, ou de manières incompréhensibles même pour lui-même. La réalité archaïque intérieure est influencée par des influences mythologiques (aspects démoniques et divins exerçant une action sur son jugement et son action). Si le réel devient plus important : il ressent une différence morbide avec son intérieur, si le subjectif devient plus important, tout est pour lui apparence et comédie.

Il y a un refoulement de l’Ne qui a un caractère archaïque : Ne=flair particulier pour tous les arrière-plans à double sens, obscurs, mal propres et dangereux de la réalité, des intentions. Tant que l’individu ne s’éloigne pas trop de l’objet, il y a équilibre, une attitude fantaisiste consciente, crédule. Mais si l’inconscient s’en mêle, on peut observer des actions pernicieuses, obsessionnelles, des idées fixes sur certains objets, une névrose obsessionnelle dont les traits d’hystérie sont voilés par l’épuisement.

 

Ni

Les objets intérieurs sont relatifs dans l’espèce humaine : la perception en est individuelle. Les personnes ayant la fonction dominante Ni s’arrêtent plus particulièrement à ce que l’objet a déclenché en eux, au travers des images de l’ I qui leur apparaissent (contrairement aux types Si qui sentent l’influence de l’I dans leur corps).

Autant les types Ne ont un désir éternel de changement, foulent au pied les considérations humaines (leur sort et celui d’autres humains), autant Ni doit faire le lien entre les images inconscientes et le SOI, au-delà de la perception esthétique…en y incluant le problème moral soulevé par ces images (choix du volet positif ou négatif de tout archétype).

Le type Ni ne sent pas le lien avec l’autre personne, mais son effet intérieur. Il peut perdre conscience de son existence et de son action sur autrui.

Ayant accès intérieurement et de manière imagée à l’expérience humaine depuis la nuit des temps, ce type peut parfois prévoir le futur de manière prophétique.

Type Ni, (équivalent MBTI: IN-J)

Il s’agit d’un homme, d’une femme, original(e), rêveur(se), mystique, artiste, souvent une énigme pour entourage,un sage demi-fou.

Au-delà des perceptions intérieures et de leur esthétique, il est confronté à un problème moral. Par le jugement, le sens, il entre en rapport avec sa vision, et doit transférer sa vision dans sa vie, il fait de lui et sa vie un symbole. Il s’interroge sur la tâche qui lui est destinée parmi les humains.

Mais…ce type est inadapté à la réalité du moment…jamais compris, de par son langage trop subjectif, il se retrouve incompris, prédicateur dans le désert.

La Se est refoulée, archaïque, ce qui induit une impulsivité, une démesure et un fort attachement à impression sensible. Si l’attitude consciente augmente, avec soumission à ses perceptions internes, l’I entre en opposition : on observe une obsession avec un attachement démesuré à l’objet.

Névrose obsessionnelle, hypocondrie, hypersensibilité de l’organisation sensorielle, attachement obsessionnel à certains objets ou personnes.

 

Résumé types irrationnels introvertis

Ce qui va vers l’extérieur est de moindre importance et sous-estimé.

Ces types ont un manque pour se communiquer, un manque de chaleur enveloppant l’objet pour favoriser la communication qui est épisodique.

Il est difficile d’extérioriser son destin, pourtant cela calmerait les visions intérieures et parfois la douleur.

Ces types sont riches en enseignements, éducateurs, font progresser la civilisation, même si apparemment ils semblent inutiles pour certains extravertis.

Ils sont parents en tant que modèles.

Il leur manque parfois la raison et l’éthique de la raison, mais leur vie enseigne, le bonheur rayonne de la richesse de l’Ni intime.

 

Fonction principale et secondaire

La Pensée (T) efficace et différenciée amène à des conclusions puis des actions, pas à la rumination.

La fonction secondaire ne doit et ne peut dépasser la principale sinon celle-ci ne pourrait plus fonctionner. Exemple: type Pensée T: Fonction secondaire S ou N, si la fonction secondaire « doublait » la principale, la sensation empêcherait la pensée de fonctionner efficacement et il s’agit de la donnée principale de la psychologie de cet individu.

Dans ces cas, le médecin doit s’appuyer sur les fonctions 2 et 3 pour aider le patient à les développer car s’il réveille en premier lieu la n°4, la fonction F entrainerait un transfert très violent, qui devrait être brisé tout aussi violemment. La confrontation à l’Inconscient, le plus présent dans la fonction 4 doit être préparé car il s’agit d’un tsunami.

Travailler pour les types rationnels N/S avant F/T, travailler pour les types irrationnels F/T avant S/N pour être préparé à recevoir le choc inconscient : part d’un état animal archaïque, et ambivalence/imagination/sexualisation, inimaginable tant que pas vécu.

Outils possibles: volonté, attention, imagination, identification. Coopération pour synthétiser l’irrationnel et le rationnel.

Quand l’individualité de la personne est I (Soi), elle peut être projetée dans l’image de l’âme d’une personne de même sexe (identité inconsciente par introjection). Quand le sujet s’identifie à cette personne, l’image de l’âme projetée sur cet objet est ambivalente, d’où des émotions d’amour et de haine/peur intenses.

Si une personne est trop identifiée à son âme, la persona (masque social du Moi) inconsciente est projetée sur un objet de même sexe, l’adaptation extérieure est défectueuse car le sujet ne tient pas compte de l’objet, ne le voit pas vraiment.

L’introjection du névrosé intègre donc l’extérieur à l’intérieur, l’objet est mélangé avec des fantaisies inconscientes.

A l’inverse, la dissimulation est une fusion du sujet dans l’objet, et donc une aliénation de soi qui se cache dans la psyché.

Le sentiment est un jugement affectif différent des humeurs, sensations, émotions…, on peut être passif ou actif : être amoureux/aimer, il convient de différencier le sentiment de la Se, seul le sentiment est actif ou dirigé, rationnel.

Quand la Ti est sur-développée et qu’il y a névrose, il peut y avoir une fusion avec la sensation sexuelle: intuition sentimentale, sentiment non dirigé…

 

Types psychologiques 5/10 : tableaux des relations (socionique)

Voici  un récapitulatif des relations intertypes selon la socionique évoquée dans l’article précédent. Pour une meilleure « lisibilité », il est découpé en 4 tableaux étudiant les relations de 4 types psychologiques avec les autres. Pour une lisibilité maximale, vous pouvez ouvrir les deux articles de front dans votre navigateur.

Légende :

Relations « faciles » : C : complémentarité, A : activation, R : reflet, J : jumeau

Relations presque parfaites : qC : quasi complémentarité, Mi : mirage, Pr : proche, Ag : agitateur

Relations compliquées : Opp : opposé, Aff : affrontement, Ids : idéal, Sem : semblable

Relations inégales: les types de la première ligne sont : Co+ : contrôleur, Co- : contrôlé, Su+ : supérieur, Su- : subordonné, par rapport à celui de la colonne de gauche.

A l’aide des articles précédents, vous pouvez déterminer votre type MBTI et son équivalent en socionique.

Partie 1

SOCIONIQUE/MBTI ILE         ENTP SEI        ISF ESE       ESFJ LII      INT
ILE

Inventeur

Intuition extravertie

ENTP

J C A R
SEI

Médiateur

Sensation introvertie ISFP ou ISFJ

C J R A
ESE

Communicateur

Sentiment extraverti ESFJ

A R J C
LII

Analyste

Pensée introvertie INTP ou INTJ

R A C J
EIE

Acteur

Sentiment extraverti ENFJ

Su+ Co+ Sem qC
LSI

Inspecteur

Pensée introvertie ISTP ou ISTJ

Co+ Su+ qC Pr
SLE

Maréchal

Sensation extravertie ESTP

Ag Mi Su- Co-
IEI

Lyrique

Intuition introvertie INFP ou INFJ

Mi Ag Co- Su-
SEE

Politique

Sensation extravertie ENFP

Ids Opp Pr Aff
ILI

Critique

Intuition introvertie INTP ou INTJ

Opp Ids Aff Sem
LIE

Entrepreneur

Pensée extravertie ENTJ

Sem Aff Ids Opp
ESI

Protecteur

Sentiment introvertie ISFP ou ISFJ

Aff Sem Opp Ids
LSE

Administrateur

Pensée extravertie ESTJ

Su- Co- Ag Mi
EII

Humaniste

Sentiment introverti INFP ou INFJ

Co- Su- Mi Ag
IEE

Conseiller

Intuition extravertie ENFP

Pr qC Su+ Co+
SLI

Maître

Sensation introvertie ISTP ou ISTJ

qC Pr Co+ Su+

Partie 2

SOCIONIQUE/MBTI EIE     ENFJ LSI       IST SLE     ESTP IEI       INF
ILE

Inventeur

Intuition extravertie

ENTP

Su- Co- Ag Mi
SEI

Médiateur

Sensation introvertie ISFP ou ISFJ

Co- Su- Mi Ag
ESE

Communicateur

Sentiment extraverti ESFJ

Pr qC Su+ Co+
LII

Analyste

Pensée introvertie INTP ou INTJ

qC Pr Co+ Su+
EIE

Acteur

Sentiment extraverti ENFJ

J C A R
LSI

Inspecteur

Pensée introvertie ISTP ou ISTJ

C J R A
SLE

Maréchal

Sensation extravertie ESTP

A R J C
IEI

Lyrique

Intuition introvertie INFP ou INFJ

R A C J
SEE

Politique

Sensation extravertie ENFP

Su+ Co+ Pr qC
ILI

Critique

Intuition introvertie INTP ou INTJ

Co+ Su+ qC Pr
LIE

Entrepreneur

Pensée extravertie ENTJ

Ag Mi Su- Co-
ESI

Protecteur

Sentiment introvertie ISFP ou ISFJ

Mi Ag Co- Su-
LSE

Administrateur

Pensée extravertie ESTJ

Ids Opp Sem Aff
EII

Humaniste

Sentiment introverti INFP ou INFJ

Opp Ids Aff Sem
IEE

Conseiller

Intuition extravertie ENFP

Sem Aff Ids Opp
SLI

Maître

Sensation introvertie ISTP ou ISTJ

Aff Sem Opp Ids

Partie 3

SOCIONIQUE/MBTI SEE      ESFP ILI       INT       LIE  ENTJ

 

ESI     ISF
ILE

Inventeur

Intuition extravertie

ENTP

Ids Opp Sem Aff
SEI

Médiateur

Sensation introvertie ISFP ou ISFJ

Opp Ids Aff Sem
ESE

Communicateur

Sentiment extraverti ESFJ

Sem Aff Ids Opp
LII

Analyste

Pensée introvertie INTP ou INTJ

Aff Sem Opp Ids
EIE

Acteur

Sentiment extraverti ENFJ

Su- Co- Ag Mi
LSI

Inspecteur

Pensée introvertie ISTP ou ISTJ

Co- Su- Mi Ag
SLE

Maréchal

Sensation extravertie ESTP

Pr qC Su+ Co+
IEI

Lyrique

Intuition introvertie INFP ou INFJ

qC Pr Co+ Su+
SEE

Politique

Sensation extravertie ENFP

J C A R
ILI

Critique

Intuition introvertie INTP ou INTJ

C J R A
LIE

Entrepreneur

Pensée extravertie ENTJ

A R J C
ESI

Protecteur

Sentiment introvertie ISFP ou ISFJ

R A C J
LSE

Administrateur

Pensée extravertie ESTJ

Su+ Co+ Pr qC
EII

Humaniste

Sentiment introverti INFP ou INFJ

Co+ Su+ qC Pr
IEE

Conseiller

Intuition extravertie ENFP

Ag Mi Su- Co-
SLI

Maître

Sensation introvertie ISTP ou ISTJ

Mi Ag Co- Su-

Partie 4

SOCIONIQUE/MBTI LES     ESTJ

 

EII      INF IEE     ENFP SLI      IST
ILE

Inventeur

Intuition extravertie

ENTP

Su+ Co+ Pr qC
SEI

Médiateur

Sensation introvertie ISFP ou ISFJ

Co+ Su+ qC Pr
ESE

Communicateur

Sentiment extraverti ESFJ

Ag Mi Su- Co-
LII

Analyste

Pensée introvertie INTP ou INTJ

Mi Ag Co- Su-
EIE

Acteur

Sentiment extraverti ENFJ

Ids Opp Sem Aff
LSI

Inspecteur

Pensée introvertie ISTP ou ISTJ

Opp Ids Aff Sem
SLE

Maréchal

Sensation extravertie ESTP

Sem Aff Ids Opp
IEI

Lyrique

Intuition introvertie INFP ou INFJ

Aff Sem Opp Ids
SEE

Politique

Sensation extravertie ENFP

Su- Co- Ag Mi
ILI

Critique

Intuition introvertie INTP ou INTJ

Co- Su- Mi Ag
LIE

Entrepreneur

Pensée extravertie ENTJ

Pr qC Su+ Co+
ESI

Protecteur

Sentiment introvertie ISFP ou ISFJ

qC Pr Co+ Su+
LSE

Administrateur

Pensée extravertie ESTJ

J C A R
EII

Humaniste

Sentiment introverti INFP ou INFJ

C J R A
IEE

Conseiller

Intuition extravertie ENFP

A R J C
SLI

Maître

Sensation introvertie ISTP ou ISTJ

R A C J

A suivre un article décrivant plus précisément les relations entre les types, « Types psychologique n°7 »